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| fait divers 2°RPIMA | |
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+7Jean-François BRILLANT mdlmanu MDL BVG rouge Panzer lekine syl 11 participants | Auteur | Message |
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syl Caporal
Nombre de messages : 76 Age : 55 Localisation : 6 éme RCS ancien du 1 RIMA Date d'inscription : 21/11/2006
| Sujet: fait divers 2°RPIMA Jeu 17 Jan - 10:58 | |
| Source :
CLICANOO.COM | Publié le 15 janvier 2008
Un Famas avait disparu au clair de lune dans les parages de la Route des plaines. Quatre militaires du RPIMa affirmaient avoir été attaqués par des hommes avec un fusil à pompe et contraints de remettre leur fusil d’assaut. Les jeunes gens, émules des bidasses de la 7e compagnie, ont depuis été mis aux arrêts de rigueur et sont à la disposition des gendarmes qui mènent l’enquête. Car l’arme abandonnée est revenue d’elle-même et la radio qui avait été laissée dans un fourré a été retrouvée. “Chef, on va tout vous dire, chef !”
La colonne du Régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa) rentre de manœuvre en cette nuit de jeudi à vendredi éclairée par la lune. Les militaires ont participé à des exercices difficiles dans les hauts de la Route des plaines. Ils sont fatigués, mais l’effort touche à sa fin. Ils ne sont plus bien loin du repos mérité, à quelques kilomètres de leur base, la caserne du RSMA de Bourg Murat et de son camp militaire, dont les bâtiments et les terrains s’étalent vers le 27e kilomètre, non loin de la Maison du volcan, entre le Piton Villers et le Piton des Forges. Dans le groupe, quatre jeunes gens d’une vingtaine d’années semblent plus las que les autres. Leur allure baisse à chaque pas. Ils glissent d’abord en queue de peloton. Puis le trou se forme. Ils ne sont plus “dans la roue” et l’écart se creuse peu à peu. Et très vite, ils se retrouvent totalement largués, à 800 mètres derrière leurs camarades, leurs sous-officiers et l’officier qui commande la colonne, le seul homme à porter une arme dotée de munitions réelles. Quand ils gagnent enfin la caserne de Bourg Murat, leur arrivée ne passe pas inaperçue. “On a été attaqué par deux hommes en voiture qui nous ont menacés avec un fusil à pompe, affirment les quatre biffins. On a été obligé de leur donner un de nos Famas (le fusil d’assaut réglementaire de l’armée française, NDLR) et la radio.” Consternation au quartier et branle-bas de combat, car les militaires ne badinent pas avec le vol d’une de leurs armes. En plein milieu de la nuit, les plus hautes autorités des Fazsoi et de la gendarmerie sont alertées. Des enquêteurs sont dépêchés immédiatement vers l’enceinte militaire, où les quatre hommes sont placés aux arrêts. Et dès le lever du jour, alors que les quatre bidasses sont entendus, un hélicoptère décolle pour se joindre aux recherches entreprises par une trentaine de gendarmes que renforce une section du RPIMa. Depuis le lieu de l’agression supposé, le terrain est ratissé systématiquement en quête d’indices et de l’arme, au cas où elle aurait finalement été jetée par les voleurs. “Chef, mais qu’est donc devenu le Famas, chef ?”
DÉCLARATIONS PLEINES D’INCOHÉRENCES
Et pourtant, très vite, les enquêteurs ne se montrent pas très convaincus par le récit des jeunes gens. Les termes de leur histoire ne se contredisent pas, mais ils sont plein d’incohérences. Ni l’un ni l’autre ne fournit une description précise des agresseurs ou de leur voiture. Rien qui puisse vraiment orienter les investigations, même si un signalement du véhicule plus ou moins décrit est transmis dans les services, dans l’espoir qu’il déclenche le début d’une piste. “Certes il faisait nuit, pensent les gendarmes, mais tout de même !” Mais ce sont les faits rapportés qui les intriguent le plus. Il faudrait en effet une sacrée dose de coïncidences pour que deux hommes armés d’un fusil à pompe et circulant en pleine nuit dans un endroit désert ou presque tombent presque miraculeusement sur quatre troufions perdus et totalement isolés du reste de leur groupe. Il faudrait aussi que ces deux malfaiteurs là soit certains que les armes des quatre militaires soient chargées de munitions à blanc. Et puis il y a le passé de cette section, qui ne plaide guère en leur faveur. Le scepticisme des enquêteurs se transforme donc, au fil des heures, en suspicion de plus en plus légitime. D’autant que l’enquête sur le terrain n’ayant donné aucun résultat, l’inquiétude grandit au rythme des scénarii de plus en plus catastrophiques. À partir du postulat du mensonge, toutes les hypothèses sont envisagées. S’ils se sont débarrassés volontairement du Famas et de la radio, pourquoi aussi ne pas avoir jeté les autres armes et le paquetage ? Le fusil pèse environ 5 kg, la radio 8 kg. Le plus lourd du chargement, c’est le sac de combat, et ils l’ont gardé… S’ils ont voulu voler le Famas, ils ont pu le dissimuler aussi en pleine nature pour aller le rechercher un autre jour.
COUP DE THÉÂTRE
Et s’ils ne sont que complices du vol de l’arme et de la radio ? Ils ont “vendu le Famas” a des comparses venus les rejoindre après un simple appel téléphonique. Ou bien on les a obligés, contraints. Engagés dans une mauvaise histoire, ils ont pu être “mis à l’amende” et “condamnés” à procurer l’arme. Mais à qui ? Des voyous, des terroristes ? Et l’arme est-t-elle destinée à un usage réunionnais où est-t-elle déjà en partance pour l’étranger, les Comores par exemple. La vérité des “bidasses en folie” est bien plus simple. Le coup de théâtre survient vendredi soir lorsqu’un automobiliste se présente à la brigade de gendarmerie de la Plaine-des-Cafres “pour rapporter un fusil oublié dans sa voiture par un militaire embarqué en stop, avec trois de ses camarades, dans la nuit de jeudi à vendredi…” L’homme, après avoir dormi une grande partie de la journée pour récupérer de sa soirée, s’est aperçu de la présence du fusil en reprenant son véhicule. Le pipeau de l’agression tombe à l’eau. Et les aveux émergent et reconstituent les faits. Dans la nuit de jeudi à vendredi, entre 3 et 5 heures du matin, les quatre pieds nickelés du 2e RPIMa participent à une marche de nuit en traînant les pieds et se retrouvent livrés à eux-mêmes. Ils se sont déjà débarrassés de la radio, jugée trop lourde et trop encombrante. Ils décident de la jouer fin et de trouver un moyen de rentrer à la base sans se crever. Ils ne font pas vraiment du stop. Le hasard de leur périple les conduit à l’horloge de Bois-Court (Plaine-des-Cafres). Et ils cheminent en direction de Piton Bleu. Au niveau de la fameuse horloge, ils accostent deux gars qui participent à une petite fête. Les militaires, en retard sur leur parcours, vont les convaincre sans mal de les déposer le long de la route qui mène au champ de tir près des kiosques, à Bourg Murat. Le conducteur et son passager prennent place à l’avant de leur Hyundai et les quatre bidasses s’entassent à l’arrière. Ils ont avec eux les sacs à dos et les Famas. Une fois à destination, les passagers descendent et jettent leur barda et leurs armes sur le bas-côté. Un des occupants de l’auto les aide. Ils se saluent et la voiture repart dans la nuit. Très vite, les militaires découvrent qu’il manque un Famas à l’appel. Panique. Ils échafaudent plusieurs scénarii pour expliquer la disparition. Ils envisagent de frapper leur camarade, celui qui a oublié l’arme, à coups de poing. Mais cette mise en scène n’apparaît pas assez crédible. Alors, ils imaginent lui porter des coups de couteau pour simuler une agression. Ils se ravisent. Ils ne vont tout de même pas le poignarder, même dans le gras du ventre. La dernière option est la bonne. Ils conviennent d’un braquage au fusil à pompe par deux individus surgis en voiture. Seule, la victime a été abordée. Le récit est mis au point. Le conducteur, un cafre, s’arrête à sa hauteur. Le passager, un métropolitain, descend en brandissant un fusil à pompe. Le militaire n’a d’autre choix que de remettre l’arme de guerre. Puis les deux agresseurs disparaissent dans la nuit. “Chef, vous voyez comme on est malin, chef !” La radio sera vite retrouvée. Le fusil étant de retour, l’affaire n’est plus qu’un mauvais souvenir. Mais les temps où l’armée jouait les grandes muettes et passait l’éponge sont révolus. Les hommes vont être sanctionnés. Leurs contrats, de deux à cinq ans, vont être révoqués et le procureur de la République va décider des suites judiciaires à donner à leur marche au clair de lune. “Chef, on a retrouvé le Famas et la radio, chef !”
Christian Chardon et Éric Lainé | |
| | | lekine Caporal Chef
Nombre de messages : 146 Age : 62 Localisation : Quelque part au Nord de Paris Date d'inscription : 14/04/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Jeu 17 Jan - 15:48 | |
| Les Marsouins font encore honneur à leur ancre d'or ......
J'ai toujours dit à mes gamins de dire la verité plutôt que de mentir, la punition n'en sera que moindre. | |
| | | Panzer Ministre de la Défense
Nombre de messages : 1533 Age : 34 Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Jeu 17 Jan - 19:44 | |
| Ouais ... vraiment des incapables. | |
| | | rouge Sergent
Nombre de messages : 180 Localisation : hte savoie Date d'inscription : 14/03/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Jeu 17 Jan - 19:54 | |
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| | | MDL BVG Maréchal de France
Nombre de messages : 1097 Age : 49 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 01/10/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Jeu 17 Jan - 20:30 | |
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| | | mdlmanu Sergent
Nombre de messages : 172 Age : 53 Localisation : saint quentin sur coole ( 51) Date d'inscription : 05/10/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Jeu 17 Jan - 22:20 | |
| bande de bons a rien..... | |
| | | Jean-François BRILLANT Admin
Nombre de messages : 4950 Localisation : Derrière mon APN Date d'inscription : 13/03/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Jeu 17 Jan - 22:57 | |
| Il y a un chef de section qui mériterait au moins un coup de pied au cul, pour ne pas dire une remontée de bretelles sévère. Depuis quand il n'y a plus de Sous-Off en serre-file ?
OK, les pignoufs en cause doivent en prendre plein la musette, mais le premier responsable est le chef de section, d'autant plus qu'apparemment ce n'était pas le premier "loupé" dans sa section...
Quant au SOA... le PAM, c'est plus à la mode ???
Marsouin ! | |
| | | pmo Modérateur
Nombre de messages : 1567 Age : 61 Localisation : 78 Date d'inscription : 18/11/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Jeu 17 Jan - 23:24 | |
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| | | rouge Sergent
Nombre de messages : 180 Localisation : hte savoie Date d'inscription : 14/03/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Ven 18 Jan - 11:06 | |
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| | | Jean-François BRILLANT Admin
Nombre de messages : 4950 Localisation : Derrière mon APN Date d'inscription : 13/03/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Ven 18 Jan - 13:18 | |
| Voilà bien l'esprit "Colo" : > si les "Métros" en MCD dans un Régiment Colo font des "étincelles", "c'est normal, pour le temps de leur séjour ils sont Coloniaux" > si les "Métros" font une boulette "c'est normal, ils sont Métroniaux"
Chauvinisme quand tu nous tient ! | |
| | | Jean-François BRILLANT Admin
Nombre de messages : 4950 Localisation : Derrière mon APN Date d'inscription : 13/03/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Ven 18 Jan - 14:04 | |
| Je viens de perdre un quart d'heure à lire les réactions sur le forum qui a diffusé l'info.
Bel étalage de connerie humaine !
Avec dérive raciste et chauvinisme "grand guignolesque".
On s'en fout de savoir si ces quatre abrutis sont ou non parachutistes, on s'en fout de savoir s'ils sont réunionais ou meusiens.
Ils sont soldats, portent l'uniforme de l'Armée Française, point barre !
Ils se sont conduits comme des crétins, qu'ils en subissent les conséquences. Et que leur encadrement paye son incurie.
Etre "Chef de section", être "Chef de groupe", ce n'est pas être un "petit baron", c'est connaître ses hommes, savoir ce que l'on peut tirer d'eux, être avec eux...
Etre "Chef" c'est être responsable... et dans le cas d'espèce, un certain nombre d'erreurs ont été commises et doivent être sanctionnés. | |
| | | Milo Modérateur
Nombre de messages : 1543 Age : 57 Date d'inscription : 09/08/2006
| | | | rouge Sergent
Nombre de messages : 180 Localisation : hte savoie Date d'inscription : 14/03/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Ven 18 Jan - 20:00 | |
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| | | 974 1e classe
Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 18/01/2008
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Ven 18 Jan - 20:22 | |
| J'aime pas les gens qui racontent des conneries en faisant comme si ils savaient tout ....
Petite info : les 4 personnels qui ont inventée cette histoire sont 4 jeunes réunionais issue du recrutement local pour le 2°RPIMa. Ces jeunes ont 1 an de service et étaient en formation élémentaire.
voila les infos. @+ | |
| | | MDL BVG Maréchal de France
Nombre de messages : 1097 Age : 49 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 01/10/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Ven 18 Jan - 21:01 | |
| effectvement, en dehors du faite que ces jeunes, quelquesoient leur origine, arme etc.aient fait une grosse c****ie, il est clair que 1/ le chef de groupe n'a pas fait son boulot 2/ Le SOA qui est sensé être serre-file n'a pas fait son boulot 3/ Le CDS n'a pas fait le sien non plus, Soit, pour 4 jeunes cons, 3 cadres qui ont fait les cons aussi!! Ca sens les perles tout cela.......... et je ne parle pas de les enfiler...... | |
| | | Jean-François BRILLANT Admin
Nombre de messages : 4950 Localisation : Derrière mon APN Date d'inscription : 13/03/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Ven 18 Jan - 21:19 | |
| Moi j'aime pas les gens qui arrivent, ramènent leur science sans prendre la peine de se présenter, et affirment des choses sans le début du commencement d'un élément à l'appui de leurs affirmations. Alors, "974", > 1°) https://alsacereserve.jeun.fr/les-bleus-se-presentent-f9/> 2°) si tu as des éléments à l'appui de tes dires, nous sommes tout disposés à les connaître > 3°) que ces jeunes soient ou non "issus du recrutement local" n'a rien, mais alors rien, à voir avec le problème de fond. Si le même incident se reproduisait demain au 4812 Chasseurs cyclistes, la question ne serait pas de savoir si les gugusses sont issus ou non du recrutement local au Ploukistan méridio-septentrional, mais comment ça a pu se produire, comment 4 mecs (dont un radio) peuvent se laisser glisser en queue de colonne sans que personne ne réagisse, comment l'autorité utilisatrice a pu laisser son radio "s'évaporer" ? | |
| | | 974 1e classe
Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 18/01/2008
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Ven 18 Jan - 22:34 | |
| Oui j'ai des infos :
ils faisaient une marche pour le CME, le parcour état simple c'était une marche "TOPO" , ils étaient donc sans l'encadrement qui les attendaient a chaque point de controle.
Je met en avant qu'il s'agit d'un recrutement local, non pas parcequ'il sont moin bien mais car a la réunion les journaux locaux sont rempli d'histoires a dormir debout ... (drame lors d'une partie de domino, il tape sa femme car un esprit lui a dit, coup de couteau car l'homme ne voulait pas éteindre la radio ... ce sont les types d'histoires que l'on trouve ici)
Donc pour ces jeunes réunionnais cette histoire ne devait pas paraître si énorme ...
La seul "faute" de l'encadrement je pense que c'est de ne pas avoir percuté sur le fait qu'il y avait 4 agréssé et seulement 1 FAMAS de volé ... Mais bon, a la place de l'encadrement qu'auriez vous fait ? en pleine nuit sans avoir beaucoup dormi ? auriez vous risquez de ne pas prévenir les autorités et mis en doutes la parole des jeunes ???
moi aussi ca me parait gros comme histoire ! mais si on y était qu'aurions nous fait ?
En ce qui concerne les "combats" entre les armes (TDM, PARA-TDM,METRO ..) un grand homme a dit un jour a quelqun qui était tres bon mais muté dans un régiment peu réputé : "on ne peut pas mettre tous les bons dans le meme régiment !" ... et moi je dit :" c'est pas le régiment qui fait l'homme!" | |
| | | Jean-François BRILLANT Admin
Nombre de messages : 4950 Localisation : Derrière mon APN Date d'inscription : 13/03/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Ven 18 Jan - 22:41 | |
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| | | Tringlot517 Aspirant
Nombre de messages : 440 Age : 53 Localisation : Entre Tours et Châteauroux Date d'inscription : 17/12/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Ven 18 Jan - 23:24 | |
| Juste pour détendre l'atmosphère, une histoire vraie racontée par un adjudant du 5/517, à l'époque d'active dans un R.A. à 3 chiffres. De retour du terrain... L'appelé : " Oh mon Adjudant, comment elle s'appelle la carabine noire?" L'ADJ : " Le Famas?" L'appelé : "Ouais, c'est çà, le Famas... et ben, j'l'ai pommé!" L'ADJ : " " " " " " (en fait, l'appelé l'avait enterré dans les kékés, et pensait le revendre plus tard). | |
| | | pmo Modérateur
Nombre de messages : 1567 Age : 61 Localisation : 78 Date d'inscription : 18/11/2006
| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA Sam 19 Jan - 1:06 | |
| J'en ai (presque) connu un qui avait échangé son paquetage contre une M16. J'ai crû à une "légende" du type fourragère noir, mais mon Adjt m'a assuré que c'était vrai. Il avait échangé son paquetage avec un soldat US et l'autre lui avait refilé un M16 qu'il avait planqué dans un hangar pensant le ramener au pays! Il s'est fait "piquer" lors de la restitution du paquetage avant son départ : déclaration de perte, enquête des "criquets" de la Prévôté et il a fini par raconter son "histoire". | |
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| Sujet: Re: fait divers 2°RPIMA | |
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| | | | fait divers 2°RPIMA | |
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