écussons des Brigades actuelles

salut à toute la tribut , serait-il possible d'afficher les écussons des différentes Brigades actuelles ?

Voici un premier lien.... je scanne les écusson tissu et les mets en ligne.




http://www.symboles-et-traditions.com/articlesmembres/targui/gdes-unites/brigades-implantation/page-implatation-at.htm

Yves

wolverine a écrit:

salut à toute la tribut , serait-il possible d'afficher les écussons des différentes Brigades actuelles ?

Pas de souci, ça peut se faire
T'en as à nous proposer, on est preneur

nickel chrome , bien carré comme j'aime thank you

Dragon Lady a écrit:

wolverine a écrit:

salut à toute la tribut , serait-il possible d'afficher les écussons des différentes Brigades actuelles ?

Pas de souci, ça peut se faire
T'en as à nous proposer, on est preneur

me suis mal exprimé , je suis à la recherche (photos ) des différents écussons , possible que d'autres soient interessés

Voila pour vous.

Je précise que je les envoie dans l'ordre de leur numéro (pour ne froisser personne) car ce sont toutes de grandes unités (dans tous les sens du terme).



Yves

1ère Brigade mécanisée

La 1re Brigade mécanisée est l’héritière de la 1re Division blindée créée le 1er mai 1943, à Mascara, pour s’opposer à la Panzerdivision de l’Afrikakorps. La 1re D.B. débarque en Provence le 15 août 1944 pour entamer la reconquête du territoire national au sein de la 1ère Armée. Elle participe à la libération de Toulon et Marseille, est la première sur le Rhône (25 août 1944), la première sur le Rhin (19 novembre 1944) et la première sur le Danube (21 avril 1945). Elle obtient trois citations à l’ordre de l’armée.
Dissoute le 31 mars 1946, elle est recréée en 1948 à Trèves en 1951. Nommée 1ère division en 1950, elle reprend son appellation de 1ère D.B en 1978. Pendant la guerre froide, la 1re DB constitue une grande et puissante unité blindée, doté de matériels modernes.
A la suite de la réorganisation de l’armée de Terre, et à la dissolution des Forces Françaises Stationnées en Allemagne ses traditions sont transmises le 1er juillet 1999 à la 1ère Brigade mécanisée, créée à Chalons en Champagne. La 1re BM participe d’emblée à l’opération Trident au Kosovo en 1999.

Composition :

- 1ère compagnie de commandement et de transmissions de
Châlons-en-Champagne
- le 1er régiment d’infanterie de Sarrebourg
- le 1er régiment de tirailleurs d’Epinal
- le 501-503e régiment de chars de combat de Mourmelon.
- le 40e régiment d’artillerie de Suippes
- le 3e régiment du génie de Charleville Mézières

2e Brigade blindée

« Jurez de ne déposer les armes que lorsque nos couleurs, nos belles couleurs flotterons sur la cathédrale de Strasbourg ! » C'est par ces mots prononcés à Koufra que le colonel Leclerc lance la grande aventure de la 2e D.B. Formée en Afrique, elle débarque en Normandie et participe à la Libération et la campagne d’Allemagne. Dissoute en 1946, elle est recréée le 1er juillet 1979 à Versailles puis elle déménage vers Orléans. Le 1er juillet 1999 elle devient 2e brigade blindée.
La 2eme Brigade blindée compte 6.700 professionnels en son sein. Son état-major est stationné à Orléans. Les régiments de combat qui la composent allient puissance de feu, permanence, protection et mobilité, ils sont tous prêts pour répondre au seul objectif important : la projection. L'état-major a pour mission d'organiser et de conduire la préparation opérationnelle de la brigade, de projeter des modules de forces dans un cadre national ou multinational et enfin, de commander un ensemble interarmes du niveau brigade ou groupement de forces.

Composition :
- un état-major à Orléans
- Régiment de marche du Tchad de Noyon
- 16e Bataillon de Chasseurs de Sarrburg
- 1er Régiment d’artillerie de marine de Laon
- 6-12e Régiment de Cuirassiers d’Olivet
- 13e Régiment du génie du Valdahon
- 2e compagnie de commandement et de transmissions d’Orléans
- Escadron d’éclairage et d’investigation de la 2e B.B. d’Orléans



homologué G2655




Homologué G4856

Désolé pour la photo mais je n'ai pas cet insigne en basse visibilité

3e Brigade mécanisée

La 3e Division d’infanterie algérienne est créée le 1er mai 1943 à Constantine. Elle participe à la campagne d’Italie, débarque en Provence le 15 août 1944, libère Toulon puis Marseille. La vallée du Rhône, le Jura, l’Alsace sont autant de faits d’armes pour la 3e D.I.A. qui pénètre en Allemagne le 19 mars 1945 pour célébrer la victoire à Stuttgart.
Dissoute le 15 avril 1946, elle est reformée en tant que 3e division d’infanterie en 1951, puis 3e division en 1960, elle stationne à Coblence en 1951 puis Fribourg en 1957. Elle devient 3e Division blindée en 1978 en couvre la zone sud des F.F.A. Après la disparition de celles-ci, la 3e D.B. est dissoute en 1991.
Le 1er juillet 1999 dans le cadre de la refondation de l’armée de terre, le flambeau de la glorieuse 3e D.I.A. repris par la 3e Brigade mécanisée qui s’implante à Limoges. Grâce à sa capacité d’investigation, de renseignement, à sa puissance de feu considérable, la brigade peut aussi bien être amenée à engager le combat contre un ennemi blindé mécanisé que se voir confier des opérations de maintien ou de rétablissement de la paix.

Composition :
- un état-major à Limoges
- 3e compagnie de commandement et de transmissions de
Limoges
- le 126e Régiment d’infanterie de Brive-la-Gaillarde
- le 92e Régiment d’infanterie de Clermont-Ferrand
- le 1-11e Régiment de cuirassiers de Carpiagne
- le 68e Régiment d’artillerie de la Valbonne,
- le 31e Régiment du génie de Castelsarrasin
- la 92e Compagnie Antichar de Clermont Ferrand



homologué G2298



homologué G4843

4e Brigade aéromobile

La 4e division aéromobile est créée à Nancy, quartier Verneau le 1er juillet 1985 par changement de dénomination de la brigade aéromobile expérimentale et modification organique de la 4e division blindée. Elle englobait 3 régiments d’hélicoptères de combat, un régiment de commandement et de soutien ainsi qu’un régiment d’infanterie. Intégré à la F.A.R. elle était faite pour frapper « vite, fort et loin » ce qu’elle fît lors de l’opération « Daguet » en Irak mais aussi en Afrique lors des nombreux détachements.
Le 1er juillet 1999 dans le cadre de la refondation de l’armée de terre, la 4e D.A.M. devient 4ème Brigade aéromobile et regroupe l’essentiel des hélicoptères de combat de l’armée de terre. De ce fait, elle est engagée partout dans le monde où la présence et l’intervention des forces françaises s’avèrent nécessaires. Aucun engagement ne peut se faire aujourd’hui sans aéromobilité. Depuis plusieurs années, la Brigade est déployée en permanence dans les Balkans, en Côte d’Ivoire, au Gabon, au Tchad et à Djibouti.

Composition :
- état-major à Nancy
- 4e compagnie de commandement et de transmissions de Nancy
- 1er régiment d’hélicoptères de combat de Phalsbourg
- 3e régiment d’hélicoptères de combat d’Etain
- 5e régiment d’hélicoptères de combat de Pau
- 6e régiment d’hélicoptères de combat de Compiègne

2 variantes - G 3278



non homologué

6e Brigade légère blindée

La 6e Division légère blindée est créée en 1984 à Nîmes., elle est l’héritière de la 6e Division blindée. Innovation surprenante pour l’époque, une division blindée équipée de chars à roue et de V.A.B. remplace les unités chenillées. Formant l’ossature de la F.A.R. (avec la 9e D.I.Ma) avec pour mission de se déployer rapidement et loin du sol national. Le concept est efficace et la 6e B.L.B. s’illustre en 1991 en couvrant les flancs des alliés dans la chevauchée vers Al-Salman lors de laquelle elle détruit la 45e Division d’infanterie irakienne. Cinq ans plus tard ces régiments font une démonstration de force sur le mont Igman qui oblige les serbes à lever le siège de Sarajevo. En 1999 c’est à Mitrovica au Kosovo qu’elle s’illustre.
Devenu 6e Brigade légère blindée le 1er juillet 1999, sa puissance de feu, souplesse et mobilité lui permettent de répondre pleinement aux exigences des missions d’urgence qui ne manquent pas (Côte-d’Ivoire, Afghanistan, Liban…). Son intégration dans la N.E.B. (numérisation de l’espace de bataille) lui confère des capacités nouvelles en augmentant réactivité et fait qu’elle est toujours le « fer de lance » de l’Armée française dans le monde.»

Composition :
- état-major à Nîmes
- 6e compagnie de commandement et de transmissions de Nîmes
- le 21e Régiment d'infanterie de marine de Fréjus
- le 2e régiment étranger d'infanterie de Nîmes
- le 1er régiment étranger de cavalerie d’Orange
- le 1er régiment de spahis de Valence
- le 3e régiment d'artillerie de marine de Canjuers
- le 1er régiment étranger de génie de Nîmes

G 3164

Le "basse visibilité" je ne l'ai pas. Je cherche sur internet.

7e Brigade blindée

A l’issue de la 2e guerre mondiale, l’armée française se réorganise. En 1953, elle expérimente, par le biais d’exercices baptisés «Javelot», le concept d’une unité blindée légère, organisée pour la découverte, la couverture du corps de bataille et l’exploitation de l’arme nucléaire. Le 28 janvier 1955 est créée la 7e Division mécanique rapide à Constance. Le 1er mars 1960, la 7e D.M.R. prend l’appellation de 7e Division légère blindée et rejoint Mulhouse puis Besançon en 1961 pour devenir 7e Division avec ses 800 engins blindés et ses 8 régiments, elle est une des grandes unités parmi les plus puissantes de l’armée française. Suite à la réorganisation de 1977, la 7e Division blindée est créée.
Répondant aux besoins du nouveau contexte stratégique, le 1er juillet 1999, la 7e D.B. cède place à la 7e Brigade blindée, plus compacte et réactive. Forte de 6 000 hommes, 270 blindés, et 1000 véhicules.
- Elle agit en milieux interarmées et multinational,
- Elle est apte aux engagements massifs et prolongés de haute intensité,
- Elle est adaptée aux actions de coercition et de maîtrise de la violence.
La 7e B.B. a été présente dans les engagements de l’armée de terre. (Kosovo, Liban, Tchad, Bosnie, Côte-d’Ivoire. Sénégal, R.C.A., Guinée…)

Composition :
- l’Escadron d’éclairage et d’investigation de Verdun
- le 35e régiment d’infanterie de Belfort
- le 152e régiment d’infanterie de Colmar
- le 1-2e régiment de chasseurs de Verdun
- le 8e régiment d’artillerie de Commercy
- le 19e régiment du génie de Besançon
- la 7e Compagnie de commandement et de transmissions de Besançon

G 1199



G 4820

9e Brigade légère blindée de marine

La 9e division d'infanterie coloniale est créée en Algérie en 1943. Débarquée sur l'île d'Elbe en juin 1944, elle reprend la ville de Toulon et participe à la libération de la France puis à la reconquête de l'Allemagne. Dès novembre 1945, elle rejoint l'Indochine jusqu'en 1954. La 9e D.I.C. cesse d'exister en décembre 1947 sans même avoir été officiellement dissoute. Elle renaît en juillet 1963, à Saint-Malo, en tant que 9e brigade. Aérotransportable et apte aux opérations amphibies, elle est intégrée, le 1er décembre à la 11e D.L.I. Le 1er avril 1971, la 11e D.L.I. devient 11e D.P. La 9e brigade amphibie forme alors la 9e Brigade d’infanterie de marine et reçoit son insigne. Le 1er janvier 1976, la 9e brigade devient la 9e Division d'infanterie de marine. Rattachée à la F.A.R. à compter de 1983, elle devient une unité professionnelle, immédiatement projetable, mobile, ayant une bonne puissance de feux et une aptitude amphibie confirmée.
En 1999, la réorganisation des forces a lieu. La 9e D.I.Ma. laisse place à la 9e brigade légère blindée de marine. Elle est l'une des deux brigades légères blindées de la force d'action terrestre. Sa vocation est d'être projetée en action extérieure, sur court préavis, en totalité ou par groupements. La 9e B.L.B.Ma est engagée sur de nombreux théâtres tels que l’Afghanistan, la Bosnie, la Côte d’Ivoire, le Kosovo.

Composition :
- le 1er régiment d'infanterie de marine d’Angoulême
- le 2e régiment d'infanterie de marine du Mans
- le 3e régiment d'infanterie de marine de Vannes
- le 11e régiment d’artillerie de marine de st Aubin du Cormier
- le Régiment d’infanterie chars de marine de Poitiers
- le 6e régiment du génie d’Angers
- La 9e Compagnie de commandement et de transmissions de Nantes

G2546


G 4821

11e Brigade parachutiste

Le 1er décembre 1963, à son retour d’Algérie, la 11e division légère d’intervention est réorganisée et prend le nom de 11e division, elle devient 11e division d’infanterie en 1966.
Créée en avril 1971 la 11° Division parachutiste voit le jour à Toulouse. Lors de la restructuration des armées, celle-ci donne naissance à la 11e Brigade parachutiste (11e B.P.) en 1999 à Balma.
La 11e brigade parachutiste est une unité à dominante infanterie, spécialisée dans le combat aéroporté et l’assaut par air. Sa vocation prioritaire est la projection dans l’urgence afin de fournir une première réponse à une situation de crise. Réactifs et légers, ses régiments sont à même d’être projetés rapidement partout dans le monde en précurseurs d’une force plus étoffée.

Composition :
- Etat-major de la 11e brigade parachutiste de Balma
- 1er régiment de chasseurs parachutistes de Pamiers
- 1er régiment de hussards parachutistes de Tarbes
- 1er régiment de train parachutiste de Toulouse
- 17e régiment de génie parachutiste de Montauban
- 2e régiment étranger parachutistes de Calvi
- 3e régiment parachutiste d’infanterie de marine de Carcassonne
- 8e régiment parachutiste d’infanterie de marine de Castres
- 35e régiment d’artillerie parachutiste de Tarbes

G 1990

La suite après, car quelqu'un a lancé un "à table" et il n'y a plus qu'a obéir...

Yves18k a écrit:

La suite après, car quelqu'un a lancé un "à table" et il n'y a plus qu'a obéir...

c'est comme ça quand un général de corps d'armée sonne le rassemblement

A la maison c'est moi le chef....

... mais ma femme est adjudant



C'est ce que tu voulais Wolwerine ?

Yves18k a écrit:

A la maison c'est moi le chef....

... mais ma femme est adjudant



C'est ce que tu voulais Wolwerine ?

tout simplement te remercier pour toutes tes infos hyper précises

27e Brigade d’infanterie de montagne

Créées en 1888 pour défendre la frontière des Alpes, les Troupes de montagne constituent dès l’origine une force spécialisée dans le combat en montagne. C’est la Grande Guerre qui les fait entrer dans la légende. Sur tous les fronts (France, Italie, Macédoine), elles acquièrent le statut de « troupes d’élites », dont les chasseurs, surnommés « diables bleus » par l’adversaire, constituent le fleuron. Au cours de la seconde guerre mondiale, leur engagement sur le front des Alpes, sur le front Nord-Est et en Norvège (Narvik) confirme leur renommée. Dès 1942, les soldats de montagne écrivent une nouvelle page de leur histoire avec leur entrée dans la Résistance. A la Libération, la 27e D.A. sera la première grande unité reconstituée à partir des maquis en 1945. Les Troupes de montagne s’implantent en Autriche, la 27e D.A. y est dissoute le 15 avril 1946.
Reformée le 1er août 1955 en tant que 27e Division d’infanterie alpine elle participe aux opérations de pacification en Kabylie. De retour en France à Grenoble elle prend le nom de 27e division alpine en 1976.
La division rejoint la F.A.R. en 1983. Son cadre d’emploi habituel s’élargit : Liban et ex-Yougoslavie (Mont Igman). Professionnalisée depuis 1999, elle devient 27e Brigade d’infanterie de montagne à Varces. Détentrice de capacités opérationnelles reconnues, elle met en œuvre des savoir-faire spécifiques sur les théâtres les plus divers.

Composition :
- le 7e Bataillon de chasseurs alpins de Bourg-Saint-Maurice
- le 13e Bataillon de chasseurs alpins de Barby
- le 27e Bataillon de chasseurs alpins de Cran Gevrier
- le 4e Régiment de chasseurs de Gap
- le 93e Régiment d’artillerie de montagne de Varces
- le 2e Régiment étranger de Génie de Saint-Christol
- la 27e compagnie de commandement et de transmissions de
montagne de Varces

G 2486 Actuellement porté sur fond jaune au lieu du noir.


G 4835
Je ne l'ai pas non plus celui la